En 2040, je me réveille dans un monde où l’Europe a su concilier progrès et respect de la nature. Les villes sont devenues des espaces verts, les voitures individuelles ont disparu au profit de transports en commun ultra-efficaces et gratuits. Je prends un tram aérien silencieux pour aller travailler, traversant des quartiers où les toits sont couverts de jardins partagés. L’air est pur, les températures sont plus supportables malgré le réchauffement climatique que nous avons su ralentir grâce à des choix politiques courageux.

Entre 2025 et 2040, il y a eu des crises, mais aussi une prise de conscience collective. L’économie s’est adaptée, les entreprises ont dû respecter des normes écologiques strictes, et le travail a évolué : moins de stress, plus de flexibilité, un revenu minimum garanti pour tous. La solidarité est au cœur de la société, avec des logements abordables et une meilleure répartition des richesses.

Ce futur me donne de l’espoir. Il montre qu’en agissant ensemble, nous avons su transformer nos modes de vie pour un monde plus juste et durable.